Nos VAP STOR-ies
- dim 07 janvier 2024
- 10 minutes
décryptage
5 mythes
du vapotage
Décryptons le vrai du faux avec 5 mythes et 5 réalités appuyés par des données chiffrées – pour une vision claire et informée de la vape.
MYTHE N°1 : La vapeur est aussi dangereuse que la fumée du tabac
LA RÉALITÉ : La vapeur des cigarettes électroniques est générée par la chauffe d’un mélange de propylène glycol, de glycérine végétale et d’arômes. Contrairement à la fumée du tabac, la vapeur produite par une e-cigarette ne contient pas les milliers de substances toxiques issues de la combustion d’une cigarette (cette dernière compte environ 4000 substances chimiques, dont au moins 69 prouvées cancérigènes). Des études, telles que celles menées par l’Institut Pasteur et publié dans la revue Science Direct, indiquent que la vapeur émanant des cigarettes électroniques contiendrait 99 % moins de composés toxiques que la fumée de cigarette. Hors chez STOR e-cigarette, nous savons bien que la vapeur d’une cigarette électronique contient 0% de composé toxique. l’Institut Pasteur n’est tout simplement pas autorisé à dire que la cigarette électronique n’en contient aucun, notamment par rapport aux liquides qui ont servi aux tests. Gardez en tête que selon l’origine du e-liquide (ex Chine ou USA), celui-ci peut contenir une infime partie de composés toxiques. Chez STOR, l’origine France de nos liquides en boutique vous garantit les produits les plus sains du marchés.
MYTHE N°2 : La vape ne crée pas une dépendance
LA RÉALITÉ : La nicotine, présente naturellement dans le tabac, possède un impact sur le système nerveux car elle libère de la dopamine, l’hormone du plaisir par excellence. Au fil du temps, le cerveau s’adapte à cette stimulation, réduisant sa propre production de dopamine et augmentant le nombre de récepteurs nicotiniques. Ce processus crée un cercle vicieux chez l’individu qui ressent ainsi un besoin de nicotine pour maintenir cet équilibre neurochimique. Alors oui, la nicotine est bien présente dans certains e-liquides, mais celle-ci est généralement en plus faible quantité que dans les cigarettes traditionnelles et en plus de cela elle n’est pas soumise à la combustion (ce qui va changer la structure chimique de base de la nicotine, activant la molécule d’autant plus). Et contrairement au tabac des cigarettes traditionnelles, la cigarette électronique laisse un contrôle total sur le taux de nicotine, offrant la possibilité de réduire progressivement la dépendance, en ajustant les niveaux de nicotine au fil du temps, voire d’opter pour des e-liquides sans nicotine. La nicotine contenue dans les e-liquides ne crée pas de dépendance, puisque nous adaptons le taux de nicotine en fonction des besoins de chacun : exemple, un non fumeur de cigarette classique aura un taux de nicotine de 0 avec lequel il ne pourra jamais devenir dépendant de la nicotine (voir Mythe n°5). Par contre, avec notre expérience, nous savons que de vapoter des liquides gourmands peut engendrer une faible dépendances au bon goût que procure votre cigarette électronique. C’est pour cela que nous préconisons toujours un e-liquide arôme Tabac ou mentholé pour l’arrêt de la cigarette. Chez STOR, nos experts sont là pour vous guider dans la gestion de la nicotine, vous permettant de réduire progressivement votre dépendance au tabac.
MYTHE N°3 : La e-cigarette n'est Pas Adaptée aux Fumeurs Occasionnels
LA RÉALITÉ : La cigarette électronique s’adapte aux habitudes ponctuelles, évitant les contraintes liées à la consommation régulière de tabac. La flexibilité des niveaux de nicotine permet aux fumeurs occasionnels de contrôler précisément leur consommation, l’absence d’une odeur persistante, la discrétion sociale, la variété de saveurs attrayantes, et les options sans nicotine font de la cigarette électronique une alternative adaptée pour ceux qui fument de manière occasionnelle.
MYTHE N°4 : Les arômes des e-liquides sont dangereux pour la santé
LA RÉALITÉ : En Europe et en France particulièrement, les arômes des e-liquides sont soumis à des réglementations strictes, avec notamment la Directive européenne sur les produits du tabac (TPD), qui depuis 2016 a pour objectif de lutter contre le tabagisme en imposant ses règles aux fabricants de e-liquides. Les e-liquides sont ainsi soigneusement sélectionnés pour respecter ces normes bien précises et offrir l’expérience gustative la plus saine possible. En plus de ça, les liquides vendus dans les magasins spécialisés doivent être déclarés auprès de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) et des centres antipoison, garantissant un suivi des produits.
MYTHE N°5 : La cigarette électronique est une porte d'entrée vers le tabagisme
LA RÉALITÉ : En vrai, la quasi totalité des vapoteurs sont d’anciens fumeurs.
D’après les données scientifiques disponibles (Étude qualitative auprès des utilisateurs de cigarette électronique : pratiques, usages, représentations – Astrid Fontaine, Fernanda Artigas – Dans Santé Publique 2017), lorsque la motivation principale n’est pas d’arrêter de fumer, mais plutôt de tester les effets d’une e-cigarette, l’abandon de la cigarette électronique intervient rapidement. C’est dans une étude de l’INSERM de 2020 que l’on pouvait lire « dans l’ensemble, l’expérimentation de la cigarette électronique en premier (par opposition au tabac en premier) a été associée à une réduction du risque de tabagisme quotidien à l’âge de 17-18 ans ». La même étude indique aussi : « Une grande partie des adolescents qui avaient fait leurs premières expériences avec la cigarette électronique ne sont donc jamais devenus des expérimentateurs de tabac ». L’étude parle d’elle même !
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